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Monsieur Quinn. Vous n'êtes point celui qui m'enchante. Pour le moment.

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B. Arizona Budcley
B. Arizona Budcley


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Monsieur Quinn. Vous n'êtes point celui qui m'enchante. Pour le moment. Vide
MessageSujet: Monsieur Quinn. Vous n'êtes point celui qui m'enchante. Pour le moment. Monsieur Quinn. Vous n'êtes point celui qui m'enchante. Pour le moment. EmptyDim 11 Avr - 1:30

    Monsieur Quinn. Vous n'êtes point celui qui m'enchante. Pour le moment. Tqwj2juv1i46k8wi6gu Monsieur Quinn. Vous n'êtes point celui qui m'enchante. Pour le moment. Kayumite-20in20-ac04

Il faisait froid, dans cette partie du manoir. Non pas que ce n'était pas agréable, j'aimais le froid, mais le manoir était très bien chauffé, la chaleur aurait du pénétré aussi ici, et pourtant plus j'avançais vers cette grande porte presque inébranlable face aux sorts, plus je ressentais cet air glaciale frigorifié mes propres poumons. Je comprenais, petit à petit pourquoi il nous était formellement interdit de venir ici, l'air y était irrespirable et derrière cette porte menait tout droit à cette sorcière au passé qui m'était complètement inconnu, au nom que je ne connaissais même pas. Une grande sorcière dit-on et pourtant je ne me souviens pas en avoir entendu parler. Et pourtant dieu seul sait combien de nom de grande personne sont tombés dans mes oreilles. J'avais ma baguette entre mes doigts, qui petit à petit devenait moite à cause de la chaleur de mon corps et de la température de l'air ambiante. J'étais assez fatiguée encore une fois de plus, comme ci en ce moment mon corps ne se régénérait pas je dormais. Alors pas part pas, j'avançais lentement, les yeux clignant au fur et à mesure, comme ci le froid atteignait mes cornés. Et pourtant tout était si clair, si affuté, défini. Aucune lumière ne brillait pourtant. Seule la lumière de la lune, s'échappait par cette seule fenêtre. Je ne sais pas pourquoi je me suis réveillée en pleine nuit, comme ci c'était mon seul but de venir ici. Et dans ma grande robe blanche en coton je marchais doucement, pied nu, avec seul compagnie ma baguette bois d'if et son unique plume de phœnix. Je ne savais pas ce qui m'avait mené ici, mais je savais parfaitement pourquoi. J'avais un grand besoin de savoir ce qui ce passait derrière cette imposante porte en bois. Juste une porte me diriez-vous, et que moi, l'immortel je pourrais facilement contourner parce que je vis sur terre depuis si longtemps, ce qui me donne des pouvoirs plus élevé, mais non, cette porte me donner du fil à retordre, elle était plus futée que moi, bien plus difficile à ouvrir que ce que j'espérais, et je le savais sans pour autant avoir déjà pointer ma propre baguette dessus. Et puis des pas, un bruit léger, derrière moi. Je devrais avoir peur, en temps normal, si j'étais une petite fille innocente qui pouvait mourir comme ça, d'un claquement de doigt, j'aurais du avoir peur, mais non, je ne fis comme ci je n'avais rien entendu, jusqu'au dernier moment. Mais avant ça, j'examinais avec attention qui pouvait très bien ce trouver derrière moi à faire l'imbécile, a essayer de me faire peur, de vouloir mourir peut-être, et même si j'avais eu mon compte d'expériences mortifères, j'avais encore la possibilité de tuer, et j'en profitais quand j'en avais l'occasion. Même si c'était ce vieux professeur Quinn, celui qui avait eu la possibilité de me mettre un B- sur ma copie en Sort et Potion. Il avait besoin d'une bonne explication celui-là, parce qu'il ne serait pas prêt de ressortir d'ici sans au moins s'être excuser et avouer sa faute. Pauvre homme, il mourrait lentement d'une mort que je lui aurait affligé pour juste un B-. La bêtise du genre humain. Du monde magique plutôt. Alors je me retourna brusquement, ce qui fis volaient mes cheveux dans le sens de l'aiguille d'une montre, ainsi que ma robe mousseline d'une blancheur immaculée. Et je pointais ma baguette vers lui, ou plus précisément, j'appuyais contre son propre cœur, il n'était même pas à cinquante centimètre de moi. Oui, j'ai toujours eu ce don de retournement de situation. D'abord avec Achille et ma baguette contre sa carotide et lui, en plein cœur. Monsieur Quinn.
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Trystàan D. Quinn
Trystàan D. Quinn


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MessageSujet: Re: Monsieur Quinn. Vous n'êtes point celui qui m'enchante. Pour le moment. Monsieur Quinn. Vous n'êtes point celui qui m'enchante. Pour le moment. EmptyMar 13 Avr - 18:43

    Cette partie du manoir était totalement interdit aux élèves et pourtant certains petits curieux aimaient s’aventurer dans les couloirs sombres et froids de l’aile sud. Je n’avais pas spécialement envie de pénétré dans cette zone mais j’avais le devoir ou plutôt l’ordre de faire une ronde de nuit afin de retrouver des élèves qui se seraient échappés de leurs lits. J’étais le petit nouveau de l’établissement qui attirait toutes les attentions des étudiants. Ils devaient sûrement rechercher un moyen de m’assassiner ni vu ni connu afin d’éviter les cours de sort et de potion. Je comprenais parfaitement ses idées barbares car les cours n’étaient pas spécialement amusant pour ses jeunes gens qui ne pensaient qu’à faire la fête jusqu’au bout de la nuit. Dans ma tête, j’avais encore mes dix-huit ans et pourtant j’en étais très loin. La lumière de la lune éclairait le long couloir qui menait vers une immense porte en bois où une certaine sorcière vivrait derrière celle-ci. Personnellement, je n’oserais pas m’aventurer dans ses lieux mais il y a toujours des petits courageux à la recherche d’adrénaline qui essayaient de forcer la porte grâce à des tours de magie. Il fallait croire qu’ils n’avaient pas encore compris que ses maudits tours de passe-passe ne suffiraient pas à ouvrir cette porte. Mes pas m’emmènent vers une source de lumière qui n’était certainement pas le reflet de la lune sur le carrelage mais plutôt une baguette magique qui illuminait les lieux afin d’avoir une vision plus correcte des choses. Et voilà ! J’allais devoir faire mon rabat joie alors que je n’avais qu’une seule envie en ce moment : dormir. Quelle tristesse ! Franchement, il faudrait engager des personnes qui surveilleraient les locaux à la place des professeurs qui méritaient une bonne nuit de sommeil après des heures de cours épuisantes. Je m’approchais avec une grande discrétion qui était totalement raté selon moi. J’allais me faire remarquer par l’élève en moins de cinq secondes mais qu’importe. Mes pas produisaient un léger claquement sur le carrelage froid du couloir. Au bout de quelques secondes, j’avais reconnu l’intrus de la soirée. Arizona ! Quelle chance ! Je ne méritais vraiment pas d’être aussi chanceux en sachant qu’elle me rendait complètement… Débile. Oui, c’est le mot ! Comment voulez-vous vivre normalement en sachant que cette jeune élève est dans votre tête jour et nuit ? Aucune idée, on va dire que je vivais en n’essayant … Rien en faite. D’un coup, je vis ses cheveux volaient dans les airs comme une sorte de mirage, je vis son visage d’ange avec ses yeux qui me fixaient avec une pointe de… Je n’arrivais pas à décrire ce que je voyais en cet instant. Ce n’était plus une élève mais une muse à mes yeux. Sa baguette s’arrêta sur mon cœur avec insistance. Je pourrais mourir face à ce spectacle. Mon corps se faisait lourd, mou et totalement inutile alors que mon cerveau était en ébullition.Monsieur Quinn. Oh ! Douce mélodie ! Je n’en revenais pas de voir mon comportement face à cette jeune femme à peine majeur qui ne connaissait rien de la vie. Qu’allais-je lui répondre ? Mademoiselle Arizona ? Non, je voulais juste profiter de cet instant de calme, de solitude, et surtout de ce rapprochement entre nos deux corps. En réfléchissant à mes paroles, je me rendais compte de la situation plutôt atypique. Un professeur sur le charme de son élève n’était pas vraiment courant. Mon visage ne laissait rien transparaitre. Il était totalement fermé, sans la moindre émotion, mais mon corps ne ressentait pas vraiment la même chose à son égard. Après tout, je n’allais pas mettre mes états d’âmes en avant ! Et bien, vous vouliez me trancher en petits morceaux ? Avec mon index, je baissai son baguette vers le sol. Je la regardais comme un imbécile avec une pointe d’émotion face à ses doux yeux. Cette soirée était très certainement, le début de la fin de Monsieur Quinn.
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B. Arizona Budcley
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MessageSujet: Re: Monsieur Quinn. Vous n'êtes point celui qui m'enchante. Pour le moment. Monsieur Quinn. Vous n'êtes point celui qui m'enchante. Pour le moment. EmptyVen 16 Avr - 21:47

Je n'avais qu'une seule envie. Voir ce qu'il pouvait très bien ce tramer derrière cette porte. On nous avez toujours défendu d'y accéder. Quelques morts, et de nombreux blessés, je ne compte même plus les fois où ont est venu me voir rien que pour m'annoncer que quelqu'un était resté tétaniser, voir fou à la lumière obscure de cette pièce. Ont m'avait raconté que cette pièce était si froide qu'il était difficile d'y respirer, d'y avancer, et que chaque fois qu'on faisait des pas sur le plancher se dessiner comme des oracles, des dessins mystérieux censés donner un avertissement, un message. Je n'avais vu aucun message. Pas de gribouillis quelconque sur les murs, le plancher moisie, les vieux meubles posés pour quelle raison ? Je ne sais pas. Ont m'avait dit que quand j'y mettrais les pieds, je ressentirai une impression bizarre, quelque chose de lourd à porter. Par contre, ont ne m'avait pas aussi précisé, que par les effets de mon âge je ne ressentais rien du tout. C'était spéciale, l'âge. Ceci me permettait toute sorte de supplice que les humains, les mortels ne pourrait pas supporter. C'était si facile, et c'était pour moi comme un endroit rassurant. Vous ne le croirez peut-être pas, mais cette endroit, pour moi, était si paisible, si calme. Même la bibliothèque ne m'apportait pas autant de sérénité. Je ressentais tout de même la force, un endroit où était accumulé la magie pendant des siècles.
Je ne comprenais pas l'engouement qu'avait les élèves, précisons-le, féminins, pour ce cher professeur. Monsieur Quinn, n'était qu'un prof. Rien d'autre. Enfin, si. Si vous comptez les nombreux ragots comme quoi il ce serait amusé avec quelques élèves comme ça. Mais est-ce réellement vrai ? Je lisais parfaitement dans les pensées, et j'aurais pu très bien à ce moment-là, capter toute paroles internes. Mais le faire sans-arrêt était. Pénible. Et puis, j'aimais le mystère. Ne rien connaître de quelqu'un de nouveau était si envoutant. J'aurais pu lorsque ma baguette était pointer sur son misérable petit cœur, lire dans ses pensées et savoir s'il était surpris, intimidé par ma présent imposante de vieille fille emprisonnée dans un corps d'une vingtaine d'année. Il avait sur le moment, un visage strident, quelqu'un de dur, un policier droit dans sa tête. Il faisait la police ici, il aurait pu très bien me demander directement ce que je faisais ici, au lieu de me faire une phrase interrogative, qui me semblait plus exclamative. Et bien, vous vouliez me trancher en petits morceaux ? J'avais cet air presque méprisant. J'arrondissais l'un de mes sourcils, hautainement. Et même s'il avait baissé le bout de ma baguette vers le sol, j'aurais pu très bien, sans qu'il ne s'en aperçoivent, lui lançait un de ses sorts pratique, mais j'étais sympathique, et je rangea simplement mon bois d'if vers le sol. J'aurais aussi puis lui demander ce qu'il pouvait bien faire ici, mais il était du personnel, et même ma force, sûrement supérieur, n'avait aucun effet. J'avais interdiction de le toucher, magicalement entendons-nous bien. Alors, je dis. Pourquoi n'avez-vous pas riposter, immédiatement surtout ? Une réponse à l'interrogative à mon tour. Sûrement le meilleur moyen de voir si déjà c'était un prof futé.
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