Je l'aime, un peu, beaucoup, passionnément ... Pas du tout !

(c) BANANA•HAMMOCK!

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Melody était sorti du manoir, au milieu de la nuit. Elle aimait sortir une demi heure seule pendant que tout le monde dormait. Sauf que cette nuit, tout le monde ne dormait pas, comme elle le croyait. Elle s'état assise, sur la pelouse, et regardait le ciel et les étoiles, elle n'entendit pas ce beau garçon arriver.
" Alors Lockwood, on se rebelle ? On sort quand tout le monde dort ?"
Elle se leva à la vitesse d'un éclair, se retourna et vit le bel apollon appuyé contre un arbre, en face d'elle.
" Tais-toi, veux-tu ! Tu gâches toujours les moments de paix ! Et puis, tout le monde ne dort pas, à ce que je vois !"
Il lui fit un sourire des plus craquants. Il adorait l'énerver, et il adorait quand elle répondait. Il aimait par-dessous tout quand elle lui faisait une crise, et il était sûr qu'il réussirait à en avoir un se soir, s'il l'a chercher bien.
" Et si tu te faisait prendre ?
- Aucune chance !
- Et si je te dénonçait ?""
Elle avala sa salive. Elle ne savait pas jusqu'où il serait près à aller pour l'irriter, mais assez loin pensait-elle. Néanmoins, elle répondit d'un on froid.
" Soit pas idiot, si tu me dénonce, tu te dénonce en même temps !
- Pfiou ! j'ai peur ! Quelques points de moins pour ma confrérie et quelques heures de colle, ça vaut largement le fait de te faire punir, toi aussi !"
Elle sorti alors sa baguette et la pointa sur lui.
" J'ai une année de plus que toi, Lockwood, fais gaffe !"
Trop tard ...
" Aguamenti ! "
Une fois le garçon trempé jusqu’aux os, Melody se mis à courir, mais, même trempé, il l’a rattrapa et lui sauta dessus pour la faire tombé. Elle était hilare, et sa le fit sourire, car il l’aimait, oui, il l’aimait follement. Mais il ne l’avouerai jamais le premier, et elle non plus ! Cependant, alors qu’elle lui disait qu’elle l’avait bien eu, et qu’il avait l’air minable (elle ne le pensait pas, car on pouvait voir la forme de son torse, son beau torse …), il l’embrassa. Au début, elle ne bougea pas, surprise. Puis elle lui rendit son baiser. Quand ils se séparèrent l’un de l’autre (avecregret), elle lui claca. Une bonne claque retentissante !
" Connard, t’as une copine je te rappelle ! "
Puis elle parti, la tête haute. Il l’a regarda partir, en souriant d’un air béat. Il avait un peu mal à la joue, mais elle le faisait tellement rire qu’il ne lui en voulait pas ! Il se rappela leur rencontre, elle était en retard à un cours car elle s'était perdu, il avait eu un coup de foudre (et elle aussi), et il l'a emmené jusqu'à la bonne porte, puis ils ont commencé à se chamailler pour tout et n’importe quoi (surtout n'importe quoi, en passant ...)