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Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite.

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AuteurMessage
Atlàs L. Livingston
Atlàs L. Livingston


Messages : 4
— CRÉDITS : xpiimousse
— PSEUDO : June/ Swan

— Captivus
♦ année scolaire: 4 ème année.
♦ résumé d'adjectifs: Charismatique. Déterminée. Têtue. Volontaire. Impliquée. Intelligente. Rayonnante. Souriante .Colérique. Sincère. Fragile. Romantique. Protectrice. Douce. Fidèle. Courageuse. Réfléchie. Terre-à-terre. Rieuse. Perfectionniste. Passionnée. Hautaine.
♦ orientation sexuelle: Hétérosexuellle

Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Vide
MessageSujet: Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. EmptyMer 28 Avr - 0:45


    Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. 48574579
    (c) ENDLESS HEART.


      NOM ; LIVINGSTON
      PRÉNOM(S) ; Atlàs, Lily
      NATIONALITÉ ; Américaine
      AGE ; 18 ans
      ANNÉE D'ÉTUDE; 4 ème année
      PURETÉ DU SANG ; Sang pur
      ORIENTATION SEXUELLE ; Hétérosexuelle
      NIVEAU SCOLAIRE ; Excellent


    .



    - la matière préféré; Sortilège et Potion- pourquoi ? Malgré son amour pour les Moldus, le cours d'Etude des Moldus reste bien trop sommaire à son goût. En aristocrates imbus de leur savoir, les Livingston laissèrent pour leur plus grand malheur leur fille étudier les quatorze premières années de son existence au sein de la société moldus. Ce qui explique que le cours dispensé au manoir ne soit à sa hauteur. En revanche, elle affectionne tout particulièrement le cours de sortilèges, qui lui offre la possibilité d'enchanter, ensorceler, transformer ce qu'il lui plaît à sa guise et à ses desseins. Le cours de potion la fascine et lui plaît énormément. - épouvantard; la mort : qui pour elle prend la forme du néant.- Patronus; Un renard arctique - composition de votre baguette; Bois d'aubépine, 27 cm, contenant un nerf de cœur de dragon. Souple et rapide, elle est excellente pour les sortilèges.

      - Animal; Un magnifique chat blanc du nom de Célestin et une chouette des neiges blanche répondant au nom d'Agrippine. - Sortilège favoris; Protéiforme - juste pour embêter son frère de temps en temps. Mais, elle n'a, en réalité aucun sort de prédilection. Ils trouvent à ses yeux chacun une utilité. - Un brins de votre personnalité; Charismatique. Déterminée. Têtue. Volontaire. Impliquée. Intelligente. Rayonnante. Souriante .Colérique. Sincère. Fragile. Romantique. Protectrice. Douce. Fidèle. Courageuse. Réfléchie. Terre-à-terre. Rieuse. Perfectionniste. Passionnée. Naturelle.


    [size=4].

    Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. 10-2
      Si on vous demandait par quel bout vous aimeriez commencer, que répondriez-vous ? Moi, je dirai par le milieu et puis pour la suite un petit pas en avant et deux pas en arrière =p ! Majeure – et vaccinée (?)- ayant une étrange difficulté à se trouver un pseudo perpétuel... ces derniers temps, sont souvent venus parcourir mes inscriptions : June et Swan :) ! Mais faisons simple mon prénom à moi c'est Jennifer, BBJ pour les intimes (Big Ben Jenny) si vous voulez tout savoir. Je vous ferai part (peut-être, si vous êtes sages) un jour de la petite anecdote qui va avec mon super surnom :) ! La curiosité est un vilain défaut Nom d'un Chaudron Baveur ! ;)


Dernière édition par Atlàs L. Livingston le Ven 30 Avr - 17:15, édité 9 fois
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Atlàs L. Livingston
Atlàs L. Livingston


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— CRÉDITS : xpiimousse
— PSEUDO : June/ Swan

— Captivus
♦ année scolaire: 4 ème année.
♦ résumé d'adjectifs: Charismatique. Déterminée. Têtue. Volontaire. Impliquée. Intelligente. Rayonnante. Souriante .Colérique. Sincère. Fragile. Romantique. Protectrice. Douce. Fidèle. Courageuse. Réfléchie. Terre-à-terre. Rieuse. Perfectionniste. Passionnée. Hautaine.
♦ orientation sexuelle: Hétérosexuellle

Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Vide
MessageSujet: Re: Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. EmptyMer 28 Avr - 0:47

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I. Les racines de l'éducation sont amères, mais ses fruits sont doux.
Aristote

~ Ave Maria ~ pour violons de Shubert

    Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Jayden16Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. FLOWERSur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Sign2l10
    (c) Kanala & Sweety ceriize
    Les rayons de soleil filtraient à travers les lourds rideaux blancs tirés de la bibliothèque des Livingston. Une vingtaine de livres jonchaient le sol, éparpillés de ci, de là dans la pièce. L’âme de la maison. Tous les gens de bonnes familles le savent. La bibliothèque était un puits de savoirs incontestables. Celle des Livingston regorgeait d’œuvres ensorcelées, en bons aristocrates de sang pur qu’ils étaient. Naturellement, leur éducation les obligeait à garder au sein de leur montagne de sagesse quelques autres rayons de tomes divers. L’on pouvait retrouver des documentaires en tous genres, de la grande littérature jusqu’aux livres pour jeunesse. Toute une culture inoubliée et à jamais inoubliable, pour une croyance éternelle.

    Au milieu des imposants rayonnages en bois de noyer l’on pouvait apercevoir des petites bouclettes dorées. Une fillette, allongée sur le ventre, le menton sur une main, feuilletait un livre de contes de fée. Ses yeux bleus parcouraient les lignes du conte doucement. Plongée dans sa lecture l’enfant imaginait avec aisance les paysages merveilleux que foulaient les princesses de ses histoires. A mesure qu’elle tournait les pages du conte, le monde se teintait de couleurs douces et tendres, quoique encore flous. Doucement, le tableau naquit devant elle. Un parterre verdoyant se prêtait à ses pas feutrés, tandis que l’accompagnait le chant mélodieux et envoûtant de la nature. Un monde à part, pour un être à part. Là était son univers, sa réalité de petite fille. Toc. Toc. Toc. Elle ne bougea pas. Elle n’entendit pas, perdue dans une vallée au loin. Une jeune femme entra.« Mademoiselle Atlàs, votre professeur est arrivé. » A ces mots, la fillette se leva d’un seul bond. Si elle tardait, elle savait qu’elle allait se faire passer un savon. Un savon du nom d'Endoloris qu'elle redoutait plus que tout pour l'avoir dors et déjà trop souvent subi. Enfant obéissante et bien éduquée, elle remercia sa nurse – comme tous les matins – d’être venue la chercher et quitta sagement la bibliothèque. C’était les vacances d’été, certes. Ce qui n’empêchait Mr. Livingston d’exiger que sa fille ainsi que son fils suivent des cours particuliers. Il se devait de faire suivre à ses enfant le meilleur enseignement qu’il fut, pour qu’un jour, à son image ils suivent sa route. Pour l’heure, Mr. Livingston ne pouvait que ressentir de la fierté à l’égard de sa fille, qui grâce à son assiduité avait acquis un nombre de connaissance sur le monde de la magie inespéré. Il ne s’agissait pourtant là, que du début d’une longue route qui se devait être aussi, sinon plus brillante. Les Livingston avait une réputation que son Maître tenait à garder intact. Il ne pouvait en être autrement. Atlàs, elle, ne faisait qu’obéir et répondre dûment aux attentes des uns et des autres. Elle aimait le regard admiratif qu’on lui portait et la gentillesse avec laquelle on la traitait. Elle était jeune, mais avait pleine conscience de ce qui l’entourait. Naturellement, elle ne mesurait l’ampleur de l’attention qu’on lui portait et ne savait que trop peu quel était l’avenir qui l’attendait. Il lui semblait pourtant qu’on lui avait tracé la voie radieuse de toutes les princesses, ce pourquoi elle suivait son petit bout de chemin dans l’insouciance.

    L’enfant entra dans la petite pièce dans laquelle son professeur – un homme d’âge mur au regard sévère – l’attendait déjà. Un échange de politesse bref avant de commencer le cours, comme le voulait les règles de la bienséance. Une part d’elle encore dans son conte de fée, Atlàs ne sut répondre à la première question de son professeur qui la réprimanda durement et lui donna une punition. Des punitions, elle en avait tous les jours. C’était à croire qu’elle ne pouvait y échapper. D’ailleurs elle ne comprenait réellement pourquoi son professeur particulier lui en donnait tant, alors qu’à l’école, jamais elle n’en avait reçut, ni même avait été réprimandée. Aussi érudit qu’était ce vieux boudin, il pourrait être un peu plus gentil ! se disait-elle. Néanmoins, elle continuait à suivre ses leçons sagement. Dans les yeux de la fillette brillait un éclat brûlant d’une envie de savoir que ne manqua pas de relever son professeur, Mr. Stroud. Ils venaient de terminer son cours de mathématiques car, oui, les sorciers durant leur jeunesse suivaient des cours similaires à ceux des Moldus. Il était l’heure de la leçon de violon. Aussi le vieil homme tendit à Atlàs de toutes nouvelles partitions qu’elle déchiffra avec peine. Mais elle devinait la mélodie belle. L’ « Ave Maria ». Un morceau connu pour sa beauté. Ses doigts frêles pincèrent les cordent avec force. L’attaque fut franche, et son archet trouva naturellement le dialogue avec les cordes. Mais ses jeunes doigts ne suivaient pas la cadence et à maintes reprises, elle dut recommencer. « Concentrez-vous Atlàs ! » La voix du professeur claqua sèchement à son oreille. Il replaça ses mains sur le violon et lui intima d’un geste de poursuivre. La fillette s’exécuta. Encore une petite demi-heure et elle serait un être libre pour la journée ! Un peu blessée dans son orgueil, les premiers accords ressemblèrent plus aux cris d’une poule qu’on allait égorger qu’au son d’un violon. Se mordillant la lèvre inférieure, elle avala sa salive et reprit. Mr. Stroud prit à son tour son violon et accompagna son élève qui se sentit à nouveau respirer. Elle aimait le violon de Mr. Stroud et son piano aussi. Il jouait tellement bien. Elle adorait jouer avec lui. La musique venait d’elle-même, comme si elles dansaient autour d’elle et lui disaient ce qu’elle devait faire. Mr. Stroud avait ce don. Sa musique avait une magie qu’elle ne parvenait pas à comprendre. Le dernier accord résonna religieusement dans la pièce et un petit chaton blanc s’immisça dans la pièce paresseusement et vint auprès de sa jeune maîtresse qui lui caressa affectueusement le museau. « Hey ! Célestin ! Deux minutes je range mon violon et j’arrive ! » La fillette rangea son instrument à toute hâte et remercia son professeur avant de lui dire au revoir. Elle quitta la pièce à toute allure, courant après son chaton qui la menait vers le hall où l’attendait Eden. La fillette descendit les escaliers à toute allure pour retrouver son amie de toujours. Eden était de trois ans son aînée, ce qui ne les empêchait pas d’être comme les deux doigts de la main. « Eh Atlàs, tu sais ce que j’ai trouvé dans le jardin ? » La petite Atlàs fit non de la tête. Elle regardait Eden une pointe d’excitation et de curiosité dans le regard. « Viens ! » Eden la prit par la main et l’entraîna dans l’immense jardin des Livingston.


    Eden s’arrêta devant le grand sol pleurer qu’Atlàs aimait tant. Au bord du ruisseau ses longues et majestueuses branches effleuraient doucement l’eau qui reflétait sa grandeur. Atlàs était surprise. Pourquoi est-ce qu’Eden l’avait emmenée ici ? La petite fille lui indiqua le creux de l’arbre. Intriguée, Atlàs y laissa son regard s’y attarder. Un écureuil était en train d’y casser une noisette. « J’ai cru que je pourrais pas te le montrer ! C’est pour ça que j’ai envoyer Célestin te récupérer. Ton prof’, il a pas l’air de beaucoup m’apprécier… » Atlàs rit. En même temps, il n’appréciait pas grand monde ce vieux bougre, mais au fond, elle le savait, il était un homme qui avait du cœur. Il ne saurait jouer aussi bien sinon. « Touchée ! C’est toi le loup !  » Atlàs lança une petite tape amicale dans le dos d’Eden et partit se réfugier derrière un arbre fruitier... «  Haha tu ne vas pas t’en sortir comme ça ! Je cours plus vite que toi ! » Et c’était vrai, Eden courait plus vite qu’Atlàs qui faisait à cette époque là trois têtes de moins qu’elle. Il ne fallut qu’une petite minute à Eden pour attraper Atlàs et en faire le loup. Il fallut à Atlàs dix bonnes minutes avant de trouver une tactique concluante pour rattraper Eden. Lorsqu’elle attrapa son amie, elle prit sa main et se laissa tomber sur le dos avec elle dans le gazon. Les deux fillettes partirent dans un éclat de rire interminable. «[color=indianred Hey, Eden, j’vais te montrer un truc. Mais il ne faut pas bouger ! [/color]» Elle s’était arrêté de rire et prit une profonde inspiration. Elle se tourna vers Eden, attendant d’elle qu’elle l’imite, ce qu’elle fit après une petite seconde d’hésitation. D’une voix douce, Atlàs murmura : « Maintenant, ferme les yeux, tout doucement et respire l’air frais. » La fillette aux bouclettes dorées sortit de sa poche un IPod et mit un écouteur dans une de ses oreilles et le second dans celui de son amie. « Voilà, maintenant écoute. » C’était une andante qu’Atlàs aimait beaucoup. Elle se laissa emporter avec Eden par la mélodie au bord d’un lac enchanteresse. Rêveuses, le même sourire tranquille vint étirer les lèvres des deux enfants au moment où l’andante s’achevait sur un accord parfait, joué au hautbois et à la flûte ; deux instruments se mariant avec harmonie.Les yeux des enfants s’ouvrirent doucement au monde, laissant raisonné dans leur âme, les derniers accords. Et, au travers de la verdure mélodieuse du compositeur, les rayons d’un autre monde s’immiscèrent timidement, comme pour ne pas troubler leur beau rêve éveillé, tandis qu’un léger vent marin parvenait au pays doux et sucré du lac enchanté un goût de sel. La senteur des océans… de la mer. On ne pouvait que la distinguer, elle, et sa plage, mais l’on devinait le sable fin et doux au touché, aussi bien que la chaleur de ses eaux.

    Boucle d’or se laissa distraire par le son d'une voix connue et ses yeux bleu azur découvrirent le sourire d’une femme de chambre attendrie qui attendait patiemment que les deux jeunes damoiselles daignèrent se présenter au dîner. D’un bond, Atlàs se leva et toute sourire dit qu’elles arrivaient tout de suite. Main dans la main, les deux fillettes sautillaient joyeusement jusqu’à leur dîner. Main dans la main. A jamais…

      .


    II. Au-dessus des nuages, le ciel est toujours bleu
    Leslie Walton
    Fuck You ~ Lily Allen

    Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Icondivers7Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Icondivers9Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Iconoeilco
    (c) Touch Us & Obsession
    « Une petite sortie shopping, rien que nous deux, ça te dit ? » Atlàs faillit dire oui sans réfléchir et se laisser embarquer dans une interminable journée avec Eden. Du shopping, elles en avaient fait tout juste la semaine dernière et Eden avait dévalisé tous les magasins ! Non que cela dérangeait Atlàs qui lorsqu’il s’agit de faire du shopping se sentait flotter sur un nuage. Elle en profitait d'ailleurs toujours pour s'aventurer dans des boutiques Moldus. Chic et choc. Elle finissait toujours dans les rayons les plus incroyables posant aux vendeurs des questions à n'en plus finir. Néanmoins, la luxure est un péché. Elle devait apprendre à vivre modérément – naturellement le mot « modéré » lorsque l’on a des milliard de dollars à dépenser n’a pas le même sens que pour le commun des mortels. « Hey ! C’est juste du shopping ! Pas besoin de te lancer dans une de tes interminables réflexions pour ça ! » Eden riait, bien sûr, mais cela ne résolvait de loin pas les problèmes d’Atlàs. Elle était libre… Enfin, jusqu’à un certain point et il y avait des limites qu’elle ne devait dépasser. « Oui, je sais. Mais aujourd’hui, ça m’arrange pas vraiment… D’ailleurs mon père tient à ce que je rentre tôt aujourd’hui. Il veut me parler de quelque chose d’important apparemment. Et tu sais comment il est... » Non, ce n’était pas une excuse pour se dérober lâchement. Atlàs n’était pas le genre de personne à se laisser aller à de telles bassesses pour une si petite chose. Comme elle semblait préoccupée, Eden passa un bras autour de ses épaules. « Cette histoire de devoir partir l'an prochain à l'étranger étudier, ça t'inquiète, hein ! » Son ton n’était pas moqueur. Loin de là, l’adolescente avait parlé avec douceur. Mais elle ne connaissait pas la vérité. Car la vérité était qu'Atlàs était une sorcière qui allait bientôt étudier au Manoir Winchester, qui se ne se trouvait pas vraient à l'étranger. La vérité la chagrinait car elle ne pouvait que lui mentir. « Oui, un peu. » Atlàs regarda penaude ses mains. Son père avait appris qu'elles étaient ses convictions. Tout cela à cause d'une seconde d'inattention. Mais ce secret ne pouvait de toute évidence n'es rester un pour l'éternité. Et la vérité avait éclaté dans un éclat de verre teinté de la douleur atroce infligée par le sortilège Endoloris. « Hey, Atlàs, ça va ! T’es pas encore morte et tu n’en mourras pas !! Bon, on est arrivée la puce, c’est ici que je te dépose à moins que tu aies changé d’avis ! » Eden était sa meilleure amie depuis toujours et ces derniers temps, prenait le rôle d’une grande sœur pour elle. Mais elle était une Moldue. Et, non, elle ne pouvait décemment pas comprendre. D'ailleurs, et à cela, rien ne pourrait y faire, elles seraient bientôt séparées. Atlàs, vouée à intégrer la prestigieuse école de magie au Manoir Si ses parents avaient toléré la présence Eden au côté de leur petite fille adorée, ce n'était que par pure obligation. Il avait fallu que celle-ci fut scolarisée dans une école Moldue, en attendant ses quinze ans. Atlàs avait pour l'heure tout juste quatorze ans, elle arrivait au terme de sa dernière année au collège. Eden en avait dix-sept et allait passer en terminal. « Non, non, je m’arrête ici ! Merci, à d’main ! » La voiture fila au bout de la rue, tandis qu’Atlàs faisait face à sa résidence. Une villa en plein cœur d’un jardin ceint de hauts murs. Elle appuya sur le bouton du vidéo-interphone. Un voyant s’alluma et l’un des battants du portail s’ouvrit. Pensive, elle remonta d’un pas lent l’allée, dont les rosiers étaient en fleurs. Les roses blanches étaient ses favorites et elle ne manqua pas d’en respirer le parfum avant de passé l’imposante porte d’entrée. Sa mère l’attendait dans le hall. Ce qui la surprit. D’accoutumer, elle était la première à arriver chez elle. Atlàs n’osa pas regarder sa montre. En effet, elle avait rendez-vous avec son père à 18h pile. Petit détail qui lui avait échapper. Ses oreilles commencèrent à rougirent.

    Vêtue d’un tailleur strict, confectionné par un couturier de renom, Mrs Livingston se tenait droite, les mains jointes dans le dos. Elle dégageait une aura particulièrement froide, ce qui laissa Atlàs perplexe et sans voix. « Je constate qu’il est dix-huit heures sept et que tu as donc sept minutes de retard. Si on y rajoute les dix minutes que toute jeune fille bien élevée doit retrancher à sa ponctualité, nous arrivons à dix-sept minutes, soit presque vingt minutes de retard. » Atlàs n’avait naturellement rien à répliquer à cela. Sa mère était d’une ponctualité implacable. Elle le savait. Ce qui ne l’avait pas empêché d’arriver en retard. Elle se demandait parfois ce qui pouvait bien lui traverser l’esprit. Il y avait des règles, simples, qu’elle devait suivre pour pouvoir mener sa petite vie de princesse et si elle ne parvenait pas à faire ce minimum, il y avait de quoi se sentir honteuse. Elle fit le dos rond. « Je n’ai pas fait attention à l’heure, maman. Je suis désolée. » Les talons de sa mère claquèrent sur le marbre blanc et d’un pas résolu, elle monta dans son salon privée, suivie docilement par sa fille. Mrs Livingston s’installa dans un fauteuil en rotin sous la fenêtre près de son mari qui les attendaient. L'adolescente prit place dans le fauteuil qui leur faisait face. Tous deux la toisaient d'un regard sévère. Vilain petit canard, prends garde à toi, la moutarde va monter, pensa-t-elle. Les rideaux lourds à moitié tirés laissaient entrevoir un ciel bleu azur. De légers rayons de soleil parvenaient à s’infiltrer dans la pièce et chauffait la table ronde en cèdre du Liban qui ainsi dégageait une odeur plaisante. On vint apporter le dîner et l’air se détendit. « Si ça ne te dérange pas, nous dînerons ici. » « [color=indianredça me convient tout à fait.[/color] » Avant de toucher à leurs mets, l’on récita le Notre Père en latin :

    " Pater noster, qui es in caelis
    Sanctificetur nomen tuum;
    Adveniat regnum tuum;
    Fiat voluntas tua
    sicut in caelo et in terra.
    Panem nostrum quotidianum da nobis hodie,
    et dimitte nobis debita nostra
    sicut et nos dimittimus debitoribus nostris
    et ne nos inducas in tentationem
    sed libera nos a malo.
    Amen."

    Puis enfin, d’un même mouvement ils ôtèrent la cloche en argent qui gardait leur assiette au chaud. « Tu est consciente que ton quinzième anniversaire approche Atlàs, n'est-ce pas… » La jeune fille jeta un regard intrigué à ses parents. Naturellement, elle savait. Tout comme elle était consciente de ce que cela signifiait. « Oui, naturellement. » « Tu es bien consciente que que tu dois faire honneur à notre famille ! Toi et tes lubies, tu nous déshonores. » C’était un fait. Rien n'était plus important pour les Livingston de clamer haut et fort combien ils étaient puissants, riches et d'une lignée pure. Mais cette fille, leur « ange » dans leurs bons jours, était le rebut de la famille. Elle, qui vouait une admiration sans nulle borne pour les Moldus, leur technologie et leur histoire. Mrs. Livingston prit la parole. « Tu es telle que l'on t'a faite. Belle, douce, pleine d'énergie et d'intelligence. Ta passion pour les... M..Moldus, nous a, comme tu le sais toujours horripilés. Je crains, cependant, qu'aucune torture ne sera assez grande pour t'en détacher. Ce pourquoi tout ce que nous puissions te demander est de faire honneur à ton sang tout en restant toi-même.» Atlàs avait posé ses couverts. Sous ses traits placides et froids, sa mère avait toujours su tempérer les penchants quelque peu excessif de son mari bien que totalement soumise à ce dernier. Une fois de plus, elle était parvenue à le modérer, devinait Atlàs. Elle ne pouvait le nier, un sentiment de fierté l’envahit, car, à leur manière ils l'acceptaient, telle qu'elle était. Une sorcière à l'avenir brillant et passionnée par les Moldus. « Je comprends. C’est avec fierté que je porte le nom de ma famille et je saurai m'en montrer digne. Je vous le promets. » « Bien. Nous te faisons confiance, sache-le. Dès demain, tes cours particuliers reprendront. Deux semaines de vacances étaient bien suffisant pour te reposer et profiter de ta petite vie mondaine parmi ces gens sans pouvoir. » Atlàs sentit son cœur se se serrer. Elle ne pouvait en attendre davantage de la part de ses parents, ni même de sa famille. Ils ne comprendraient jamais vraiment l'ampleur de sa passion. Tout comme ils ne pouvaient comprendre l'amitié qui la liait à Eden. Si elle l'avait pu, elle se serait dors et déjà retirer dans sa chambre pour raconter tout ce qu'il venait de se passer à Eden. Mais elle ne pouvait décemment pas quitter la table en plein milieu d'un repas qu'elle pouvait partager avec ses parents sur un ton presque normal. Aussi, ils discutèrent d'un peu de tout et de rien, comme n'importe quels parents avec leur fille. A la fin de leur discussion, quand ils eurent finit de dîner, alors qu'Atlàs allait retourner dans sa chambre, Mrs Livingston la retint. « Atlàs Lily Livingston n'oublie jamais qui tu es. Tu pars demain à l'aube à Londres dans un camp pour jeunes sorciers avec ton précepteur afin de te réhabiliter à une compagnie digne de ton sang. » La jeune fille acquiesça et se rendit d'un pas pressé dans sa chambre où elle attrapa son portable pour appeler Eden. Dès que celle-ci eut décrocher, Atlàs ne se fit pas prier pour commencer son long récit, omettant bien sûr tout attrait à la magie.. Quand à son camp de sorcier, il s'agissait pour Atlàs essentiellement à s'adapter en douceur au monde auquel elle appartenait. C'était du moins ce que lui avait expliqué sa mère et elle la croyait sur parole. Après avoir longuement parlé de ses projets, Atlàs dut raccrocher. Son départ était prévu à l'aube et elle ne savait pas le moins du monde ce qui l'attendait. Ce pourquoi, dormir n'était peut-être pas de trop. Elle eut raison, son lendemain fut charger, bien plus qu'elle n'eut pu l'imaginer. Ce fut, en outre, durant ce fameux camp qu'elle rencontra Europe Wolframà...


Dernière édition par Atlàs L. Livingston le Ven 30 Avr - 17:13, édité 10 fois
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Atlàs L. Livingston
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♦ année scolaire: 4 ème année.
♦ résumé d'adjectifs: Charismatique. Déterminée. Têtue. Volontaire. Impliquée. Intelligente. Rayonnante. Souriante .Colérique. Sincère. Fragile. Romantique. Protectrice. Douce. Fidèle. Courageuse. Réfléchie. Terre-à-terre. Rieuse. Perfectionniste. Passionnée. Hautaine.
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Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Vide
MessageSujet: Re: Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. EmptyMer 28 Avr - 0:49

    .
III. On connaît par les fleurs l'excellence du fruit.
Blaise de Montluc

Rich Girls - The Virgins
Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Icondivers2Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. IconfraisebSur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Sans_t11
(c) Touch Us & Obsession

De ci, de là, les longues boucles dorées dansaient au rythme des pas cadencés de leur maîtresse. Couvrant un visage fin et mutin, elles intimaient la grandeur et la chaleur… L'adolescente de quinze ans avait grandi. Elle avait aujourd'hui dix-huit ans. Mince, sa silhouette élancée et ferme dégageait une étonnante énergie, presque déplacée pour son image d'élève modèle et populaire. Ses cheveux blonds étaient tirés en une stricte queue-de-cheval qui libérait les contours de son visage. Son faciès d'enfant s'était affiné, aiguisé, avait pris cet air de jeune féminité féline. Elle portait un jean, un chemisier à carreaux et arborait une expression agacée. Atlàs foulait à grandes enjambées la forêt entourant la propriété des Livingston se trouvant dans l'état de Washington au beau milieu de la forêt humide des Monts Olympic. La forêt était son monde, avec ses ombres vertes, ses odeurs humides et grasses. Elle y passait une grande partie de son temps libre, souvent seule, à en admirer le grandiose ou encore à y étudier les différentes plantes qu'elle pouvait y trouver pour ses potions. Les années lui avaient appris comment chasser un cerf à l'aide d'un appareil photo, s'assoir silencieusement, suivre une trace d'animal. Elle avait également appris à identifier les fleurs, la mousse, les arbres, et les champignons... Mais pour l'heure, elle n'avait qu'une idée en tête au milieu de cette belle verdure : faire une scène à son frère, lui tordre le coup, l'injurier, attenter une fois encore à ses jours. C'était : un idiot, un crétin, un impétueux. Le pire de tous. Elle pestait à voix haute si bien qu'elle dut effrayer la moitié des animaux des alentours. Atlàs traversa le sous-bois jusqu'à la clairière où la demeure de vacances des Livingston s'élevait. Imposante. Ouvrant la porte à la volée, la jeune femme faillit assommer Gabi, l'un des elfes de maisons. Elle s'excusa brièvement et reprit bientôt son chemin en courant jusqu'à la chambre de son frère. Elle frappa furieusement à la porte. Son frère ouvrit avec agacement. Aussi, elle lui jeta un regard froid et mauvais sans prononcer le moindre mot, ni même un son. Elle voulait qu'il avoue son forfait de lui-même car aucune autre raison n'aurait pu l'amener, une énième fois, sur le pas de sa porte. Croisant les bras sur sa poitrine, ses doigts pianotaient à vive allure, en signe de son irritation. Le jeune homme la fixait d'un air presque innocent. Presque. Car lorsqu'il s'agissait d'Eliàs, parler d'innocence aurait été une grossière erreur. Face au mutisme de sa sœur, le jeune homme lâcha :
«- Que puis-je pour toi très chère sœur ?
-.....
- Qu'est- ce que t'as ? T'as trouvé une vilaine bestiole dans la forêt ? 
Elle haussa un sourcil.
- Si j'avais rencontré une « bestiole » comme tu dis, je ne serais certainement pas déjà rentrée ! Et pour t'en parler à toi !?! Laisse-moi rire !
Elle eut un sourire moqueur. Il savait exactement ce à quoi elle faisait allusion. Il lui lança un regard noir, mais reprit un air placide presque aussitôt.
- T'as raison, je t'aurais laissé te faire bouffer ! Que du bonheur, une folle en moins dans cette foutue maison ! Alors c'est QUOI ton problème l'amie des Moldus ?
Atlàs sentait la colère monter dans ses veines à mesure que les secondes s'écoulaient. D'un naturel posé d'accoutumé, elle éprouvait les plus grandes peines à se contenir face à son frère aîné. Atlàs avait un don inné pour la mettre hors d'elle. C'en devenait exaspérant. Le pire était qu'il ne semblait vraiment pas voir là où elle voulait en venir.
- Laisse-moi te rafraîchir un peu la mémoire !
Elle lui colla au visage un parchemin écrit d'une écriture fine et d'un tracé précis. Avec nonchalance, le jeune homme prit le papier des mains de sa sœur et feignit de le parcourir avec attention. Un petit sourire amusé et satisfait étira ses lèvres.
- Oh... ça ! J'ai... comme qui dirait oublier de te la remettre. J'étais à la volière hier et Agrippine est arrivée au moment-même où j'allais m'en aller. Lorsque j'ai vu la lettre attache à sa patte, je me suis dit «  Oh et pourquoi pas ne pas lui apporter son courrier ? »! Et puis, j'ai...
- Menteur, le coupa-t-elle froidement. Elle n'avait plus aucune envie de lui crier dessus, juste une immense envie de l'écorcher vif. Moi, je vais te dire ce qui s'est vraiment passé, t'as pris la lettre et tu l'as lu ! Sauf que quand t'as vu que c'était une lettre d'Europe, tu l'as jetée, mise au feu, ou que sais-je encore ! Mais tu l'as fait exprès !! Et comment je sais ça, tu te demandes ? Elle m'a réécrit, inquiète que je ne lui donne pas de mes nouvelles depuis sa lettre précédente ! Mais réjouis-toi, elle arrive comme prévu demain et passera tout l'été ici avec nous !
Elle claqua la porte derrière elle sans attendre de réponse de son frère ayant débité sa tirade d'une traite. Encore quelque peu furieuse, elle sentait néanmoins un poids en moins lui peser sur les épaules. D'un pas fluet, elle descendit faire savoir aux elfes de maisons qu'il leur faudrait préparer une chambre pour son amie et à partir du lendemain préparer un couvert de plus. Après cela, elle alla se laver, afin de se préparer à suivre les cours de son précepteur. Les vacances... non, ce n'était décemment pas un mot faisant parti du vocabulaire des Livingston.



Dernière édition par Atlàs L. Livingston le Ven 30 Avr - 20:07, édité 5 fois
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♦ année scolaire: 5ème année.
♦ résumé d'adjectifs: résumez le caractère de votre perso via des adjectifs courts et précis.
♦ orientation sexuelle: bisexuelle

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MessageSujet: Re: Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. EmptyMer 28 Avr - 7:49

June avec taylor Swift en plus *w*. BIENVENUE =D
Merci de l'inscription et bonne chance pour ta fiche!
N'hésite pas à nous contacter si problème est =P.
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— PSEUDO : June/ Swan

— Captivus
♦ année scolaire: 4 ème année.
♦ résumé d'adjectifs: Charismatique. Déterminée. Têtue. Volontaire. Impliquée. Intelligente. Rayonnante. Souriante .Colérique. Sincère. Fragile. Romantique. Protectrice. Douce. Fidèle. Courageuse. Réfléchie. Terre-à-terre. Rieuse. Perfectionniste. Passionnée. Hautaine.
♦ orientation sexuelle: Hétérosexuellle

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MessageSujet: Re: Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. Sur la voûte des cieux notre histoire est écrite. EmptyVen 30 Avr - 17:14

Merci beaucoup pour l'accueil =D !!

J'ai fini ma présentation :) !
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